Les compléments alimentaires font l'objet d'une harmonisation au niveau de l'Europe. La directive suivante concerne uniquement les vitamines et minéraux ainsi que les autres substances ayant un effet sur le corps humain (oligo-éléments et autres substances sous forme de gélules, comprimés, poudres).

Les compléments alimentaires font l'objet d'une harmonisation au niveau de l'Europe. La directive suivante concerne uniquement les vitamines et minéraux ainsi que les autres substances ayant un effet sur le corps humain (oligo-éléments et autres substances sous forme de gélules, comprimés, poudres).

La directive concerne principalement l'étiquetage des produits. Pour être conforme à la législation, ils doivent obligatoirement comporter sur l'étiquette ou la présentation :

  • Le nom des catégories de produits auxquels ils renvoient.
  • La portion journalière maximale.
  • Les risques en cas de dépassement de la dose journalière maximale.
  • Une mention "Ceci n'est pas un médicament".
  • Un avertissement concernant les précautions pour les jeunes enfants.

Ils ne doivent en aucuns cas comporter sur l'emballage, l'étiquette ou la présentation :

  • Des mentions concernant des propriétés de traitement, de guérison ou de prévention de maladies humaines.
  • Des mentions suggérant qu'un régime alimentaire équilibré ou qu'un régime normal ne constitue pas une source suffisante de nutriments.

La synthèse est disponible sur la pageCompléments alimentaires du site www.europa.eu.

D'autre part, la législation concernant plus largement les plantes de phytothérapie et les compléments alimentaires en France est restrictive : on compte 34 plantes autorisées contre plus de 600 en Belgique.

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